Je pense qu'il faut remettre un peu l'église au milieu du village.
Les DSG6 étaient plutôt fiables dans l'ensemble, notamment les DQ250, car à embrayages humides.
Les DSG7 ont mauvaise réputation, plutôt à juste titre pour certaines (DQ200, embrayage sec, bourrée de problème, de mécatronique, d'embrayages qui chauffent et qui s'usent, car à sec, etc...
Les DSG7 à embrayage humides, par exemple les DQ380, DQ381, qui sont apparues donc vers 2014 et la DQ500, ne sont certes pas exemptées de problèmes, mais sont plutôt fiables dans l'ensemble.
Il n'y a pas tant de ces soucis.
Donc il ne faut pas croire tout ce qu'on lit.
J'ajoute aussi qu'il faut aussi parfois lire ce qui n'est pas écrit.
Par exemple, vérifier sur YouTube le nombre de personnes qui font des tutos pour réparer les boites (d'excellentes qualités pour pleins, d'autres avec des erreurs, c'est normal) ou pour la maintenance, mais ce qu'on ne voit pas non plus, ou parfois dans certaines vidéos, c'est comment ces boites sont traitées.
Il faut au moins 45 minutes voir 1heure pour que la boite soit à température (60, 70°), et par temps froid, en conduite normale et pas trop dans les bouchons il faut un peu plus de temps.
Or, quand tu vois comment les gens roulent, oui ça abime.
Une boite auto (à convertisseur de couple), manuelle robotisée (SMG de BMW ou chez Fiat je sais plus leur dénomination à eux), ou à double embrayages (VW/Audi/Mercedes...) sera toujours plus complexe qu'une simple boite manuelle.
Souvent, l'utilisateur n'est pas au courant, rien n'est noté dans le manuel et le commercial ne capte rien à ce qu'il vend lors d'une vente.
Donc quand on voit comment sont traités certaines boites, on se dit que c'est quand même vachement solide, vu la complexité.
Les pressions à l'intérieur de la mécatronique et la pression sur les embrayages et tout ça, pour fonctionner hors spec (donc à température fraîche).
Je ne dis pas qu'il n'y a pas d'erreurs de conception, ni de manufacture, mais il y a aussi des erreurs de maintenance et des oublis de la part des propriétaires.
Parfois quelques injustices (Mercedes de ma copine, qui malheureusement a le différentiel qui faisait du bruit et qui ne se détaille pas, c'est un 7DCT et donc double-embrayages), pourtant elle roule ultra tranquille.
Et souvent, quelques Launch control à froid, pas de vidange et des accélérations fortes à froid.
Je voulais juste partager le fait que si l'on prend le nombre de DSG7 sur la route à embrayages humides vs celles qui ont des pannes, ça va largement.
Après, certes je vous rejoins, la gestion de ces DSG7 sont bonnes mais pas excellente
Et en cas de conduite dynamique, le levier, c'est certes bien mieux, mais c'est une histoire de goût ^^